
Oublier sa retraite, ça arrive… si, si !
Trop souvent, les dirigeants négligent leur départ à la retraite. C’est exactement la même problématique que pour l’assurance chômage : ils ne s’en préoccupent pas et se pensent à l’abri.
Certains supposent que la revente de leur entreprise leur suffira pour faire face à leurs besoins demain, d’autres s’imaginent d’ores et déjà à l’abri aujourd’hui, demain, après-demain… à vie ! Dans tous les cas et à moins de disposer d’une entreprise de renommée ou d’une grande fortune personnelle, c’est un mauvais calculs qui pourrait coûter cher aux intéressés.
Pour le reste des dirigeants, c’est souvent leur quotidien surchargé qui les éloigne du problème de la retraite : « la tête dans le guidon », ils n’y pensent pas et se consacrent à 100% à leur travail. Là aussi, c’est une imprudence de faire abstraction de son avenir.
De lus, les solutions concernant la retraite du dirigeant sont souvent mal connues. Et surtout, les cas varient selon le statut du dirigeant, salarié ou non salarié.
Retraite collective ou individuelle ? Dans les 2 cas, un complément s’impose !
Le dirigeant assimilé salarié peut bénéficier de la solution retraite mise en place dans son entreprise.
Ces dirigeants doivent être affiliés pour leur retraite aux régimes de la Sécurité sociale, de l’Agirc et de l’Arrco. C’est exactement le même principe que pour les cadres salariés : ils perçoivent une retraite de base et une retraite complémentaire.
Du côté du dirigeant non salarié, le coût supporté au niveau des cotisations sociales est moins élevé. Oui mais…
La retraite du dirigeant assimilé salarié est dans tous les cas plus avantageuse que celle du dirigeant « libéral » cotisant à l’une des caisses opératrices de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales (CNAVPL). Pour les artisans-commerçants, affiliés au RSI, la retraite de base et le complément non-cadre correspondent à la retraite d’un salarié.
Une chose est sûre : dans le cas du dirigeant assimilé salarié comme dans celui du dirigeant non salarié, ils devront tous deux opter pour une solution de complémentaire retraite privée. Parce que dans les deux cas, les caisses de retraite sont en mauvais état !
Pour les dirigeants assimilés salariés, l’épargne retraite via son entreprise, sous la forme d’un contrat PEE, PERCO ou Article 83 est privilégiée. Pour les chefs d’entreprises non salariés, le contrat retraite Madelin est toujours la solution la mieux adaptée et conjugue un rendement intéressant et de nombreux avantages fiscaux. Pour les deux catégories, le PERP peut aussi être une solution, malgré une attractivité moins grande que par le passé.
Il est conseillé d’agir le plus tôt possible afin de côtiser suffisamment longtemps, en douceur et sans entamer son quotidien, dans le but de se constituer un pécule suffisant, versé au moment de la retraite sous forme de capital ou de rente. De nombreuses solutions existent sur le marché pour répondre aux attentes de chacun.
Pensez à vous entourer d’un expert en solutions retraite des dirigeants. Il vous orientera vers la formule la mieux adaptée à vos statuts, à vos besoins et la plus avantageuse fiscalement.
Mes Solutions Mercer
Mes Solutions Mercer vous présente deux façons performantes et ingénieuses pour préparer votre retraite :
- Article 83 Sogecap si vous être dirigeant assimilé salarié et que vous souhaitez accéder à l’une des formules d’épargne retraite collective les plus attractives marché.
- Retraite Madelin si vous êtes dirigeant non salarié et que vous désirez cumuler revenus et avantages fiscaux.
Vous ne savez pas quelle solution choisir ? Vous voulez être guidés ? Avec Ma Solution retraite, Mes Solutions Mercer met un expert de la retraite des dirigeants à votre service. Profitez-en et bénéficiez de conseils personnalisés, tout en vous déchargeant de nombreuses contraintes.